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Ravi Varmâ est né le 29 avril 1849 dans l'Etat du Kérala (sud de l'Inde) et mort dans ce même Etat en 1906. C'est un artiste peintre.
Il obtint d'abord dans son pays une certaine célébrité dans la peinture religieuse en illustrant les épopées sanskrites de la mythologie hindoue ; le Mahâbhârata et le Râmâyana.Puis il voyage dans tout le pays recherchant des sujets profanes pour ses peintures.
Les femmes hindoues parées de vêtements locaux jouent d'une variété d'instruments populaires dans différentes régions du pays
Représentation dune scène profane certes, mais la musique indienne revêt un caractère sacré. En effet, selon la mythologie, la création de l’univers est intimement reliée aux sons.La musique indienne est aussi riche et variée que tous les peuples qui vivent sur son vaste territoire, caractérisée par le son de ses instruments, ( santoor, sitar), et par une utilisation particulière de la voix humaine
Au début du XXe siècle, les artistes de la « renaissance bengalie », comme le grand poète Rabindranath Tagore critiquent sévèrement le style de Ravi Varmâ, lui reprochant de s'occidentaliser, style qu'ils jugent vulgaire et sentimental, dépourvu de valeur et de signification.
Ravi Varmâ représente souvent les déesses hindoues sous les traits de femmes de l'Inde du Sud, revêtues du sari et qui correspondent à son idéal de beauté.
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Ingredients
3 pommes
3 poires
1 banane
1 poignée pépites de chocolatCrumble :
25 g de farine
50 g de noix de coco
25 g de poudre de noisette
75 g de beurre
100 g de sucreCaramel :
100 g de sucre pour le caramel
Préparation :
Préchauffer le four à 180 C (350 F).
Éplucher les pommes et poires et les couper en petits dés.
Faire fondre 10 g de beurre dans une poêle. Ajouter les pommes et poires (on peut parsemer de cannelle) et laisser cuire à feu moyen jusqu’à ce que les fruits soient cuits et le liquide évaporé.
Préparer un caramel en faisant fondre le sucre dans une casserole à sec. Des que le caramel prend une belle couleur le retirer et verser dans les ramequins.
Disposer les rondelles de banane dans le fond des ramequin.
Ajouter les fruits sur le caramel.
Faire fondre les pépites de chocolat au micro-onde ou au bain-marie.
Verser le chocolat fondu sur les fruits çà et là ne pas trop en mettre.
Recouvrir le tout de crumble et enfourner durant 20 min environ ou jusqu’à ce que la surface ait pris une belle couleur.
Servir le crumble chaud tiède ou froid accompagné d'une boule de glace ou pas !
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Agios Nikolaos est la capitale du comté de Lassithi et compte 8500 habitants. Elle se dresse sur la baie de Mirabelo et est l'un des centres administratif et économique des citoyens crétois. C'est un endroit touristique et populaire qui accueille de nombreux visiteurs chaque été qui viennent profiter des superbes plages. La ville elle-même est bien adaptée au tourisme, avec ses nombreux magasins, tavernes, cafés, restaurants, hôtels et bars. Malgré sa popularité, la ville s’efforce de conserver son caractère traditionnel avec ses ruelles étroites en pierre qui débouchent sur des placettes ombragées et de belles maisons traditionnelles.
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Selon les historiens, la ville se trouve sur le site de la ville antique de Laro ou Hetera qui a prospéré au cours du 3ème siècle avant JC. Son nom actuel ne date que de l’occupation vénitienne (16ème siècle), et provient de la petite église d'Agios Nikolaos, qui a été construite aux 8ème et 9ème siècles. Le château de Mirabelo a été construit à la même époque, donnant son nom à la baie où est située la ville.Il est intéressant de visiter le lac de Voulismeni ou Xepatomeni, à l'entrée du port.
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Au sud-est de la plaine d'Héraklion, dans un décor de collines arides, se cache Knossos, la plus ancienne cité de Grèce. Dédale de cours, de corridors, d'escaliers et d'étages, de chambres, d'appartements royaux et de sanctuaires, l'antre mythique du terrible Minotaure se révèle bel et bien un labyrinthe.
La découverte du site, au début du 20e s., marqua une étape majeure dans la connaissance de la civilisation minoenne. Une civilisation empreinte de légendes, dont tout le site paraît encore hanté.
Ma fille a pris les photos hier pendant sa promenade.
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La synagogue de Carpentras, la plus ancienne synagogue française en activité, a été édifiée par les Juifs comtadins de Carpentras en 1367.
En1326, Jean XXII qui en 1322 les en avait expulsés, permet aux Juifs de résider dans le Comtat Venaissin et à Avignon sans être inquiétés et, ainsi, à de nombreux Juifs de France d’échapper aux persécutions dont ils sont victimes.
En 1367, les Juifs comtadins de Carpentras commencent l'édification de la Synagogue.
Elle fut reconstruite au XVIIIe siècle : la population de la « carrière » étant passée d’environ 500 personnes à la Renaissance à près de mille à la veille de la Révolution, on imagine que la communauté était à l’étroit et que la vieille synagogue médiévale nécessitait un agrandissement. Celui-ci est mené en deux étapes ; un premier chantier est mené par l’architecte Antoine d'Allemand entre 1741-1746, une seconde tranche de travaux, de 1774 à 1776, donne l’aspect actuel de la salle de prière du premier étage. Faute d’espace au sol, on a multiplié les tribunes. Le développement en hauteur est une solution fréquemment adoptée par les synagogues de la région comtadines qui comportent souvent deux salles de prière superposées, celle du bas réservée aux femmes, celle du haut aux hommes. La décoration intérieure est un chef-d'œuvre de l’art religieux rococo du XVIIIe siècle avec ses ferronneries italianisantes.
En 1793, la synagogue devient salle d'assemblée du club révolutionnaire local. Dès l'automne 1794, l'ensemble de son mobilier est déposé et vendu. Lorsque les juifs réintégrent leur temple en 1800, ils trouvent une salle de prières complètement nue. Il paraît très probable qu'une partie du décor ait pu être récupéré puis remontée dans le courant du XIXe siècle.
La synagogue offre, outre des salles annexes témoignant du rituel juif (piscines litturgiques, boulangerie pour les pains azymes, terrasse où se déroulaient le sabbat), une traditionnelle salle de prière de plan carré, couverte de boiseries présentant un décor de pilastres doriques supportant une frise de triglyphes et métopes.
Cette synagogue fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis 1924.
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Mi Chunmao est né à Baxian, dans la province du Hebei, en 1938. Il est maintenant membre de l'Association des artistes chinois et membre du conseil de la branche du Hebei.
Mi a développé un fort intérêt pour le dessin et la sculpture quand il était enfant. En 1959, il apprend la technique de la peinture chinoise auprès d'enseignants tels que Sun Qifeng, Zhang Qiyi, Xiao Lang, Li Kunpu, Liang Qi, etc.
Il étudie également la sculpture colorée de Zhang Ming et la technique de sculpture de Wang Zhijiang. Il a acquis une grande réputation de réalisme et de grâce dans le cercle de la peinture de style méticuleux en Chine.
Ses sujets favoris sont les petites créatures telles que les chatons et les chiots, qu'il dépeint d'une manière réaliste. Ses travaux ont été publiés à la fois à la maison et à l'étranger et ont été récompensés à de nombreuses reprises dans des expositions.
Ses livres "How To Portray Small Creatures" et "Peintures de Mi Chunmao" ont été publiés.
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La construction de la forteresse de la Bastille a été décidée au XIVe siècle pour défendre la partie orientale de Paris et la porte Saint Antoine. A l'origine, la structure devait servir à défendre la porte Saint-Antoine et les remparts de l'est de Paris.
Elle débuta le 22 avril 1369 sur les plans du prévôt Hugues Aubriot.Sa construction dura de 1370 à 1383.
Élevée sur un vaste rectangle (66 m sur 30) elle était composée de huit tours dont les murs avaient deux mètres d’épaisseur, et 23 mètres de hauteur.
Elles étaient reliées entre elles par des murs de neuf pieds d’épaisseur. Un large fossé, que l’eau de la Seine remplissait en hiver, entourait la forteresse.
Des bastions furent ajoutés sous Henri II et un corps de logis en 1761.
Ce n’est qu’à partir du XVIIème siècle sous Richelieu qu’elle devint prison d’état.
Lorsque débute la Révolution, la Bastille n’est plus la forteresse terrifiante de jadis, mais reste le symbole de l’arbitraire royal. C’est ce symbole que le peuple de Paris allait abattre ce 14 juillet 1789 !
Le 13 juillet une milice forte de 48 000 hommes se crée, le tocsin sonne.
La Bastille est prise le 14 juillet 1789.Dés le 16 Juillet la démolition de la Bastille est ordonnée.
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Ingrédients
Pour la pâte
220 g de farine
175 g de beurre mou
150 g de sucre
80 g de poudre d’amandes
1 œuf entier + 2 jaunes
1 cul. à café de levure chimique
1 citron
selPour la crème
25 cl de lait entier
2 jaunes d’œufs
50 g de farine
50 g de sucre
1 sachet de sucre vanillé
1 cul. à soupe de rhumPréparation
– Dans le bol d’un robot équipé de l’accessoire pour pâte à tarte, mélangez le beurre mou et le sucre. Ajoutez l’œuf entier et 1 jaune, la poudre d’amandes et le zeste râpé du citron. Incorporez la farine, la levure et le sel, puis pétrissez jusqu’à ce que la pâte forme une boule.
– Enveloppez la pâte de film étirable en l’aplatissant un peu. Réservez-la 2 h au réfrigérateur.
– Préparez la crème?: battez le sucre, le sucre vanillé et les jaunes d’œufs. Incorporez la farine. Versez le lait bouillant dessus en remuant. Transvasez dans une casserole et faites épaissir 5 min à feu moyen, sans cesser de remuer. Parfumez avec le rhum.
– Divisez la pâte en 2 morceaux, l’un plus petit que l’autre et aplatissez-les en cercle avec un rouleau. Placez le plus grand dans une tourtière. Garnissez avec la crème pâtissière. Recouvrez du dernier disque de pâte. Humidifiez les bords et pincez-les pour les souder.
– Badigeonnez le gâteau du dernier jaune d’œuf et striez avec une fourchette. Faites cuire 40 min environ au four, préchauffé sur th. 6 (180 °C). Patientez au moins 8 heures avant de servir.
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